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Tsuki Ohno
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Citation : Je n'ai pas encore de citation, c'est triste !
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Jeux d'enfants (Aiko)| Dim 8 Jan - 21:54
Juin 2004
Dans sa salopette à fleur cousue par sa grande-mère, Tsuki peine à suivre le rythme. Seiji lui tient la main et marche à un bon rythme. Ses jambes lui paraissent trop petites en comparaison. Elle est obligée de trottiner pour amenuiser la distance qui les séparent. Ça lui fait plaisir d'être avec lui. Ce matin, il lui a dit qu'il allait l'emmener se promener et au parc. Qu'ils allaient même passer une grande partie de la journée juste tous les deux ! La petite fille était si heureuse.
Sa mère avait un rendez-vous pour un nouveau travail. C'est ce qu'elle lui a dit. Mais quand ils sont parties elle n'était pas encore habillée et coiffée.
Quand Seiji et elle monte dans un bus, elle se demande bien dans quel parc il l'amène. Pas celui de d'habitude. Parce qu'ils ne prennent pas le bus pour y aller normalement ! La petite, assise côté vitre, colle ses petites mains à la vitre. Le nez frôlant la surface transparente, elle regarde le paysage défiler sous ses yeux. Ça ne lui arrive pas souvent de prendre le bus. C'est amusant et ça va vite !
De l'autre côté, elle voit des maisons, des gens, des voitures qui circulent aussi. Bientôt les bâtiments s'effacent pour se faire plus rare.
- Papa on va ou ?
Assis à côté d'elle, il a les yeux rivés sur son téléphone. Ses doigts pianotent à une vitesse folle sur les touches. Un de ses pieds tambourine le sol. Il ne lève pas les yeux pour répondre.
- Dans un parc avec des jeux. Il va te plaire tu verras.
- Mais on arrive bientôt ?
Son attention est déjà retourner vers l'écran sur lequel un nouveau message vient de s'afficher. Ça doit être important. Surement pour son travail. Parce que son père a un travail important. Ça, elle en est persuadée. Parce qu'il a beaucoup de beaux costumes et qu'il sent bon les jours où il doit aller travailler. Aujourd'hui, il est habillé plus normalement. Mais la petite Tsuki se sent très fière d'être assise à côté de lui. Quand elle retournera à l'école, elle pourra dire qu'elle a été dans un nouveau parc. Elle se demande quel genre de jeux il y a aura !
Finalement, des nouvelles habitations apparaissent. Ils sont arrivés à Sanda. Elle n'est jamais venue jouer ici. Après deux arrêts supplémentaires, ils descendent. Il ne leur reste pas beaucoup à marcher pour arriver au parc. Les yeux de Tsuki prennent le temps de regarder. Il ne lui a pas mentit ! Il y a pleins de jeux ! Plusieurs toboggan, des balançoires, des animaux à bascules, et même une araignées où grimper.
- Vas-y, tu peux aller jouer.
Son père lui pousse légèrement le dos avant d'aller s'asseoir sur un banc non loin. Tsuki reste plantée quelques secondes sans savoir vraiment vers quel jeu se diriger. Il y a déjà d'autres enfants. Sa timidité la pétrifie presque sur place. Pourtant il va bien falloir qu'elle bouge maintenant qu'elle est là. Alors, un peu hésitant elle s'approche d'une balançoire sur laquelle elle s'assoit. Ça aurait été plus facile si son père était venue la pousser, mais il est au téléphone avec quelqu'un. Alors elle se balance, doucement, en regardant les autres personnes présentes dans le parc.
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Re: Jeux d'enfants (Aiko)| Dim 15 Jan - 11:02
Son père était occupé avec ses magouilles et sa mère était à son travail; elle avait été appelée à faire du menage chez une veille dame. Le petit aiko se retrouva seule chez lui, dans cette petite maison familliale. Sa mère lui avait dit de faire du nettoyage avant de partir,, de laver le petit salon et la cuisine, de ranger sa chambre or le petit bout de chou n'en eut cure de ses recommandations. Il n'était pas obéissant pour un chou à cette époque, préféra prendre la clé des champs, retrouver ses petits copains dehors, dans un parc. Il risquait d’être puni or ca ne l’avait pas arrêté avec une veille astuce en tête: Il arrivait à sortir par sa fenêtre à chaque fois ou il était puni dans sa chambre, privé de sorti. Aiko fit l’effort de prendre une petite douche , de mettre des vêtements propres pour sortir. C’était aussi l’une des consignes de sa mère, elle ne voulait pas le voir dehors sale, dans un état lamentable. La raison fut simple, elle voulait cacher au mieux la condition sociale de sa famille, elle en avait honte et il partagea cet avis. Il n’avait jamais dit la vérité à ses copains, tenta au mieu de montrer le peu de richesse en sa possession. Il avait mis son beau t shirt rouge avec son jean fraichement lavé. L enfant de six ans, haut comme trois pommes sortit de sa maison, couru en direction du parc. C’était son endroit préféré dans le quartier, son air de jeu. Il avait espéré retrouver sa petite bande comme d’habitude or il arriva dans un endroit desert. Il y avait personne, aucun visage familier. Aiko laissa sa déception s’exprimer, tapa dans les pierres par terre devant lui. Le parc, les jeux sans ses amis allaient être d’un ennuie mortel. Le petit avait eut l’idée de faire le grand tour du parc, vérifia s’ils ne s’étaient pas cacher dans un coin pour lui faire une surprise, une mauvaise blague. Il fouilla dans les buissons, alla derrière certains arbres.
“ tu es toute seule ?”
A défaut de trouver sa bande, il s’était rapproché d’une petite fille. Elle était toute seule sur l’une des balançoires, semblait être en difficulté. A cet âge la, le petit aiko n’avait aucune peur et aucune gêne d’aller vers les autres, surtout pour les aider. Il s’était planté devant elle, lui fit un grand signe de la main.
“ attends, je vais t’aider”
Il alla se placer derrière elle, la poussa pour enclencher ce mécanisme de balancement. Deux, trois coups suffisaient, il était parvenu à la lancer, eut l’idée de prendre celle de gauche. Il aimait bien ce jouet, savait en faire. Le bon point fut sa taille, il était assez grand pour toucher les pieds au sol, pratique pour se lancer. Il s’éleva dans les airs, rigolait aux éclats. La balançoire lui provoqua une drole de sensation, il sentit parfois des gilis dans son petit ventre.
“ On joue à celui qui va le plus haut ?”
Cette question était prévisible, c’était un défis assez fréquent à l’heure age sans compter le caractère du petit aiko. Il aimait se pavaner, avait déjà un esprit compétitif.
“ tu es toute seule ?”
A défaut de trouver sa bande, il s’était rapproché d’une petite fille. Elle était toute seule sur l’une des balançoires, semblait être en difficulté. A cet âge la, le petit aiko n’avait aucune peur et aucune gêne d’aller vers les autres, surtout pour les aider. Il s’était planté devant elle, lui fit un grand signe de la main.
“ attends, je vais t’aider”
Il alla se placer derrière elle, la poussa pour enclencher ce mécanisme de balancement. Deux, trois coups suffisaient, il était parvenu à la lancer, eut l’idée de prendre celle de gauche. Il aimait bien ce jouet, savait en faire. Le bon point fut sa taille, il était assez grand pour toucher les pieds au sol, pratique pour se lancer. Il s’éleva dans les airs, rigolait aux éclats. La balançoire lui provoqua une drole de sensation, il sentit parfois des gilis dans son petit ventre.
“ On joue à celui qui va le plus haut ?”
Cette question était prévisible, c’était un défis assez fréquent à l’heure age sans compter le caractère du petit aiko. Il aimait se pavaner, avait déjà un esprit compétitif.
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Re: Jeux d'enfants (Aiko)| Jeu 19 Jan - 15:20
Toute seule sur sa balançoire Tsuki observe les autres enfants en train de jouer. Il n'y a que des mamans dans le parc. Son père est le seul homme. Les autres papas sont au travail ? C'est possible. Ce sont souvent les mamans qui amènent ses amis au parc aussi. Alors, même s'il ne joue pas avec elle, elle est contente que ce soit Eiji qui l'ai accompagné aujourd'hui. En plus dans un tout nouvel endroit. Ça veut dire qu'il a envie de passer du temps avec elle. Et qu'il veut lui faire plaisir. De son regard d'enfant, c'est ainsi qu'elle voyait la situation.
Son corps est prit d'un frisson quand un jeune garçon se plante droit devant elle. Les billes sombres de la demoiselle le fixent quelques secondes, étonnée qu'il s'adresse à elle.
- Je suis avec mon papa. Mais il est au téléphone là-bas.
Lâchant une des cordes, elle pointe du doigt Eiji, assis sur un banc.
Sans demander son reste le garçon, qui avait l'air d'avoir a peu prêt son âge se mit derrière elle pour la pousser. La demoiselle pouvait difficilement protester. Assez rapidement, la balançoire commença à s'élever, à la force de ses petits bras. Quelques coups de jambes de sa part lui permette de l'aider. Une fois qu'elle est suffisamment lancée, il prend place sur la balançoire à côté de la sienne.
Il parvient à se lancer tout seul, forgeant une certainement admiration de sa voisine. Il la met au défi d'aller le plus haut. Amusée, Tsuki lui offre un sourire timide.
- D'accord !
Ses petites jambes se synchronisent pour donner de meilleures impulsion à son balancier au moment des bascules. Cela fonctionne, parce qu'elle commence à aller de plus en plus loin. Ses cheveux noirs se soulèvent et retombent sur ses épaules. Un sourire étire ses lèvres, autant de plaisir que de d'étonnement. Elle lâche quelques « oooh » de temps à autre, surprise par les sensations qui traverse son corps. Elle a l'impression que son ventre fait des roulades !
A un moment la hauteur est telle qu'elle prend un petit peu peur. C'est comme si ses fesses allaient se décoller de son siège ! Sauf qu'elle ne sait pas voler. Dommage ! Un peu effrayée elle ralenti le rythme. Toute essoufflée.
- Tu vas très haut !!
Son voisin se débrouille sans aucun doute mieux qu'elle. Elle doit avoir affaire à un expert en balançoires !
- Dis...tu veux bien faire de la balançoire à bascule avec moi ?!
Elle désigne le tapecul un peu plus loin. Un jeu que l'on peut difficilement faire seul. S'il est venu la voir, c'est peut être que ses copains ne sont pas encore arrivés. Ou déjà partis ? Elle peut bien en profiter un petit en attendant !
- Moi je m'appelle Tsuki. Et toi ?
Tsuki frotte ses pieds entre, le rose aux joues. Elle aime bien jouer avec les autres enfants. Mais elle a un peu de mal à aller leur parler. Ils l'intimident beaucoup. Mais elle essayent de faire des efforts, parce que grand-mère lui a dit que c'était important d'avoir des copains.
Son corps est prit d'un frisson quand un jeune garçon se plante droit devant elle. Les billes sombres de la demoiselle le fixent quelques secondes, étonnée qu'il s'adresse à elle.
- Je suis avec mon papa. Mais il est au téléphone là-bas.
Lâchant une des cordes, elle pointe du doigt Eiji, assis sur un banc.
Sans demander son reste le garçon, qui avait l'air d'avoir a peu prêt son âge se mit derrière elle pour la pousser. La demoiselle pouvait difficilement protester. Assez rapidement, la balançoire commença à s'élever, à la force de ses petits bras. Quelques coups de jambes de sa part lui permette de l'aider. Une fois qu'elle est suffisamment lancée, il prend place sur la balançoire à côté de la sienne.
Il parvient à se lancer tout seul, forgeant une certainement admiration de sa voisine. Il la met au défi d'aller le plus haut. Amusée, Tsuki lui offre un sourire timide.
- D'accord !
Ses petites jambes se synchronisent pour donner de meilleures impulsion à son balancier au moment des bascules. Cela fonctionne, parce qu'elle commence à aller de plus en plus loin. Ses cheveux noirs se soulèvent et retombent sur ses épaules. Un sourire étire ses lèvres, autant de plaisir que de d'étonnement. Elle lâche quelques « oooh » de temps à autre, surprise par les sensations qui traverse son corps. Elle a l'impression que son ventre fait des roulades !
A un moment la hauteur est telle qu'elle prend un petit peu peur. C'est comme si ses fesses allaient se décoller de son siège ! Sauf qu'elle ne sait pas voler. Dommage ! Un peu effrayée elle ralenti le rythme. Toute essoufflée.
- Tu vas très haut !!
Son voisin se débrouille sans aucun doute mieux qu'elle. Elle doit avoir affaire à un expert en balançoires !
- Dis...tu veux bien faire de la balançoire à bascule avec moi ?!
Elle désigne le tapecul un peu plus loin. Un jeu que l'on peut difficilement faire seul. S'il est venu la voir, c'est peut être que ses copains ne sont pas encore arrivés. Ou déjà partis ? Elle peut bien en profiter un petit en attendant !
- Moi je m'appelle Tsuki. Et toi ?
Tsuki frotte ses pieds entre, le rose aux joues. Elle aime bien jouer avec les autres enfants. Mais elle a un peu de mal à aller leur parler. Ils l'intimident beaucoup. Mais elle essayent de faire des efforts, parce que grand-mère lui a dit que c'était important d'avoir des copains.
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Re: Jeux d'enfants (Aiko)| Mer 1 Fév - 10:10
Si petit, si jeune, aiko avait un grand esprit compétitif. Il aimait se faire voir, montrer ses talents, ses atouts. Il s'en pavaner, s'en vanter. Il avait déjà un égo surdimensionné, avait la facheuse tendance à se croire supérieur aux autres; Il n'y pouvait rien, ce fut le statut familiale la principal cause. Ils n avaient pas beaucoup d'argent, étaient pauvre, il fallait bien compenser par autre chose. Aiko n aurait supporté rester le dernier en tout point dans sa bande, l'humiliation aurait été trop pesante. Il était arrivé à faire ses preuves, à se démarquer. A son plus grand bénéfice, il s'était fait une bonne place dans le groupe, en était souvent le petit chef. Les défis, les paris étaient les meilleurs moments ou il pouvait se pavaner, montrer qui avait la plus grosse.
Satisfaction
Victoire.
Un jeu d’enfant et elle avait eut raison: l’enfant des rues était devenue un petit pro de la balançoir à force d’en faire avec ses copains. Il adorait en faire, c’était tellement bien la balançoire, génial ! Il arrivait à aller si haut dans le ciel, avait l’impression de s’envoler dans les nuages et les sensations provoquer à son petit coeur étaient si jouissis. Son coeur battait la chamade, son ventre se retourna à chaque fois ou il toucha le ciel de ses petits pieds. A l’inverse de lui, la petite fille ne semblait pas à l’aise, il sentit une peur en elle et elle s’était empressée de ralentir la cadence. Il la regarda faire, rigola et eut l’idée de l’impressionner en se balançant sans les mains. Aiko avait lâché les deux cordes, levé les deux mains en l’air, bien écartés et vers le ciel
“ je suis le roi du monde !! aaaaaaaaaaaaaihaaaaaaaaaaaaaaa!”
Il ne se sentait plus, du ralentir à la demande de sa nouvelle copine. Elle en avait marre de la balançoire, voulait aller faire de la balançoire à bascule. Aiko tourna son regard vers celle ci pas loin d’eux, fit une vilaine petite moue sur son visage. L’envie d’y aller n’y était pas, il trouva cela bien chiant, eut une autre idée. Il y avait une sorte de toboggan à leur droite ou il y avait aussi un petit mur d’escalade, une corde ou on pouvait monter. Ca semblait plus amusant et plus sportif, aiko ne risquait pas de s’ennuyer. Il lança quelques doux regards à la petite fille, l’incita à aller dans sa direction sans un mot, il ne voulait se montrer autoritaire, personne n’aimait cela. Le petit enfant des rues jeta un oeil sur l’homme un peu plus loin. C’était le père de la petite fille, il était encore occupé au téléphone, aiko était curieux de savoir avec qui et pourquoi?
“ il fait quoi comme travail ton père ?”
Une question toute innocente sorta de la bouche du petit garçon sans même écouter la réponse. Un camion avec une mélodie en était la cause, se fit entendre non loin du parc: C’était le vendeur de glace, il passait tout le temps dans le coin à cette heure ci, Aiko avait prévu le coup, piqué un peu d’argent à ses parents. Il sorti de sa poche quelques pièces, il avait assez pour lui et pour la fille.
“ viens on va prendre une ! quel parfum? “
AIko la prit par la maon et l’entraina la ou il voulait aller
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Re: Jeux d'enfants (Aiko)| Jeu 9 Fév - 16:42
Quand le garçon lâche les cordes de la balançoire, les yeux sombres de Tsuki s'agrandissent comme deux soucoupes. Entre admiration et peur, son coeur balance.
- Tu es vraiment trop fort !!
Il faut croire que l'admiration l'emporte. Néanmoins con compagnon ne semble pas vraiment emballé par sa proposition de jeu. A la place il lui montre un ensemble avec toboggan et jeux d'escalade. Il semble vouloir garder un maximum de son énergie pour jouer là-dedans. C'est vrai que c'est amusant. Ils pourraient voir qui descend le plus sur le toboggan. Elle est presque sûr qu'il est assez courageux pour descendre sur le ventre ! Elle, n'a jamais encore essayer de le faire. Mais elle pourrait bien se laisser tenter s'il lui montre.
Alors qu'ils se dirigent vers le nouveau jeu, le petite garçon lui demande ce que son père fait comme travail. La demoiselle prend un peu de temps pour répondre, et jète un coup d'oeil à Eiji au passage.
- Je crois qu'il signe des contrats pour vendre des choses. Avec d'autres monsieurs en costumes. Mais je ne sais pas trop exactement…
Le monde des adultes lui paraient assez complexe. Il ne lui a jamais dit ce qu'il faisait exactement. Tout ce qu'elle sait c'est qu'il s'habille bien et que sa mère ne cesse de lui répéter qu'il a beaucoup de travail. Elle dit aussi que c'est pour ramener de l'argent à la maison. Plusieurs fois elle lui a montré des photos d'eux quand ils étaient plus jeunes. Parce qu'ils se sont connus à l'école, ses parents. Mais après, sa mère a dû arrêter l'école et Eiji a disparu. Tout cela, elle a un peu de mal à la comprendre, la petite Tsuki. Pourquoi son papa n'est revenu qu'il y a quelques temps ? Pourquoi est-ce qu'il a laissé sa maman seule ? Yoko, elle, dit que c'est encore parce qu'il avait trop de travail. Pourtant, Tsuki n'en est pas tout à fait sûre. Est-ce que c'est parce qu'il avait une autre amoureuse que sa maman ? Ça lui semble être une idée qui se tient.
Avant qu'ils n'arrivent au jeu, le garçon l'entraine vers un marchand de glace qui vient d'arriver
- Mais je n'ai pas d'argent.
Contrairement à lui visiblement. Elle jète quelques coups d'oeil anxieux à Eiji pour voir s'il approuve la situation. Mais il ne la regarde pas. Il n'est plus au téléphone. Un autre homme est assis sur le banc à côté de lui.
Elle est obligée de détourner son regard car c'est déjà à eux de passer commande. Elle est extrêmement gênée que ce garçon qu'elle ne connaît pas lui paye une glace. Mais l'envie d'en manger une est tout aussi forte. Les joues rouges, elle se présente devant le marchand. Il a le visage rond et souriant. Il a l'air d'une grande gentillesse.
- J'aimerai une glace au sésame, s'il vous plait.
- Tiens ma petite.
Quand il lui tend son cornet avec la glace dessus, Tsuki se mord la lèvre inférieure. Elle a déjà envie de la dévorer !! Elle attend que le petit garçon ai lui aussi récupérer sa glace avant de s'éloigner avec lui.
- Merci beaucoup beaucoup !
Elle pourrait ajouter encore plusieurs « beaucoup » derrière, tant elle est contente. Mais il doit avoir compris l'idée. Ses lèvres viennent pincer le sommet pointu de la glace. La demoiselle soupire de contentement. Elle est trop bonne cette glace !
- Tes parents te donnent de l'argent ?? Moi je n'ai pas le droit d'en avoir. Ils disent que je suis trop petite.
La vérité, c'est plutôt qu'ils n'en ont pas beaucoup et préfèrent mal le dépenser pour leurs plaisirs personnels. Seulement ça, Tsuki n'en a aucune idée. Et elle idéalise bien trop cette famille, à l'équilibre précaire, pour pouvoir l'envisager.
- Et tu as le droit de venir au parc tout seul ?
Parce qu'il n'a pas l'air accompagné. Ses parents seraient eux-même venus payer la glace sinon, non ?? Pour une fois, elle se montre un peu bavarde. Mais il faut dire que ce petit garçon a piqué sa curiosité.
- Tu es vraiment trop fort !!
Il faut croire que l'admiration l'emporte. Néanmoins con compagnon ne semble pas vraiment emballé par sa proposition de jeu. A la place il lui montre un ensemble avec toboggan et jeux d'escalade. Il semble vouloir garder un maximum de son énergie pour jouer là-dedans. C'est vrai que c'est amusant. Ils pourraient voir qui descend le plus sur le toboggan. Elle est presque sûr qu'il est assez courageux pour descendre sur le ventre ! Elle, n'a jamais encore essayer de le faire. Mais elle pourrait bien se laisser tenter s'il lui montre.
Alors qu'ils se dirigent vers le nouveau jeu, le petite garçon lui demande ce que son père fait comme travail. La demoiselle prend un peu de temps pour répondre, et jète un coup d'oeil à Eiji au passage.
- Je crois qu'il signe des contrats pour vendre des choses. Avec d'autres monsieurs en costumes. Mais je ne sais pas trop exactement…
Le monde des adultes lui paraient assez complexe. Il ne lui a jamais dit ce qu'il faisait exactement. Tout ce qu'elle sait c'est qu'il s'habille bien et que sa mère ne cesse de lui répéter qu'il a beaucoup de travail. Elle dit aussi que c'est pour ramener de l'argent à la maison. Plusieurs fois elle lui a montré des photos d'eux quand ils étaient plus jeunes. Parce qu'ils se sont connus à l'école, ses parents. Mais après, sa mère a dû arrêter l'école et Eiji a disparu. Tout cela, elle a un peu de mal à la comprendre, la petite Tsuki. Pourquoi son papa n'est revenu qu'il y a quelques temps ? Pourquoi est-ce qu'il a laissé sa maman seule ? Yoko, elle, dit que c'est encore parce qu'il avait trop de travail. Pourtant, Tsuki n'en est pas tout à fait sûre. Est-ce que c'est parce qu'il avait une autre amoureuse que sa maman ? Ça lui semble être une idée qui se tient.
Avant qu'ils n'arrivent au jeu, le garçon l'entraine vers un marchand de glace qui vient d'arriver
- Mais je n'ai pas d'argent.
Contrairement à lui visiblement. Elle jète quelques coups d'oeil anxieux à Eiji pour voir s'il approuve la situation. Mais il ne la regarde pas. Il n'est plus au téléphone. Un autre homme est assis sur le banc à côté de lui.
Elle est obligée de détourner son regard car c'est déjà à eux de passer commande. Elle est extrêmement gênée que ce garçon qu'elle ne connaît pas lui paye une glace. Mais l'envie d'en manger une est tout aussi forte. Les joues rouges, elle se présente devant le marchand. Il a le visage rond et souriant. Il a l'air d'une grande gentillesse.
- J'aimerai une glace au sésame, s'il vous plait.
- Tiens ma petite.
Quand il lui tend son cornet avec la glace dessus, Tsuki se mord la lèvre inférieure. Elle a déjà envie de la dévorer !! Elle attend que le petit garçon ai lui aussi récupérer sa glace avant de s'éloigner avec lui.
- Merci beaucoup beaucoup !
Elle pourrait ajouter encore plusieurs « beaucoup » derrière, tant elle est contente. Mais il doit avoir compris l'idée. Ses lèvres viennent pincer le sommet pointu de la glace. La demoiselle soupire de contentement. Elle est trop bonne cette glace !
- Tes parents te donnent de l'argent ?? Moi je n'ai pas le droit d'en avoir. Ils disent que je suis trop petite.
La vérité, c'est plutôt qu'ils n'en ont pas beaucoup et préfèrent mal le dépenser pour leurs plaisirs personnels. Seulement ça, Tsuki n'en a aucune idée. Et elle idéalise bien trop cette famille, à l'équilibre précaire, pour pouvoir l'envisager.
- Et tu as le droit de venir au parc tout seul ?
Parce qu'il n'a pas l'air accompagné. Ses parents seraient eux-même venus payer la glace sinon, non ?? Pour une fois, elle se montre un peu bavarde. Mais il faut dire que ce petit garçon a piqué sa curiosité.
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Re: Jeux d'enfants (Aiko)| Jeu 23 Fév - 10:57
Une nouvelle rencontre, de nouvelles pensées, un nouveau sentiment. Ce fut une surprise pour l’enfant des rues, Il ne l'avait vu venir et il n'aurait cru le ressentir en cet instant. Son nom était la jalousie, c’ét ait bien elle, il était envieux de la petite fille. Elle en était indirectement responsable; Son père l’avait accompagné dans le parc, était pas loin d’elle or AIko n’avait presque jamais eut la chance de passer un tel moment avec ses parents, que ça soit sa mère ou son père. Ils ne pouvaient jamais sortir avec lui, ils n’avaient pas le temps, le travail et la fatigue en étaient la cause. Il en avait marre, allait même à remettre en question leur amour à son égard.
Le petit devait se débrouiller seul, se contenter de ses amis, de la solitude. Un mal pour un bien, ça lui permettait de se forger un sacré caractère. AIko était devenu une tête brulée, il ne se laissait jamais marcher sur les pieds et avait tendance à aimer prendre le lead comme là ou il avait pris les devants pour aller se chercher une bonne glace au vendeur ambulant.
“ pas grave ! héhé”
L’argent d’aiko n’était pas vraiment le sien, il avait réussi à le voler à ses parents. Il n’y avait donc aucun soucis de le partager, bien au contraire: Il en avait assez pour deux et il solidifierait cette nouvelle amitié. Devant le grand camion de glace, l’enfant des rues leva les yeux, fut émerveillé par la multitude de parfums présent.
“ Euh..” Le choix était dur, le vendeur fut amusé de cette hésitation, rigola à coeur joie. “ Je vais prendre comme d’habitude, chocolat, café”
L’impatience d’Aiko avait frappé, il fut vite lassé de cette petite prise de tête de devoir choisir un parfum. Il y en avait tellement, ils lui faisaient tous envie, de l’oeil, il ne savait plus ou donner de la tête. Il ferma les yeux, prit une grande inspiration et décida de faire au plus court: Il avait pris ses deux parfums préférés: Café et chocolat. AIko se dépêcha de prendre sa commande dans les mains, de payer pour lui et la fille. Un geste de la tête, un petit aurevoir sorti de sa bouche, il s’éloigna du camion, retourna dans le parc avec sa copine. Il alla s’asseoir sur un banc, non loin des balançoires, ouvrit son petit pot de glace.
“ elle est super bonne ! ah euh.. disons que..”
Des petites taches rouges apparues sur ses joues, il était gêné de la question de son interlocutrice, ne voulait lui avouer son méfait. Il resta silencieux, fit mine d’être occupé par sa glace. Ce fut a moitié vrai, it dégusta sa glace, se régala avec. Il mangea comme un glouton, avala de grosse portion et alla tellement vite. Cette vitesse lui valu une petite migraine, c’était pas bon ce froid soudain pour sa petite tete. Le petit AIko lâcha sa petite cuillère dans son pot, se frotta la tête avec une mauvaise grimace sur son visage.
“ ca fait mal” Enfant, il se plaignait souvent, n’aimait pas se faire mal stupidement
‘hé dis, tu veux faire quoi après ?”
Pour une fois, l’enfant des rues laissa le choix à son interlocutrice, elle allait pouvoir en profiter un peu.
Le petit devait se débrouiller seul, se contenter de ses amis, de la solitude. Un mal pour un bien, ça lui permettait de se forger un sacré caractère. AIko était devenu une tête brulée, il ne se laissait jamais marcher sur les pieds et avait tendance à aimer prendre le lead comme là ou il avait pris les devants pour aller se chercher une bonne glace au vendeur ambulant.
“ pas grave ! héhé”
L’argent d’aiko n’était pas vraiment le sien, il avait réussi à le voler à ses parents. Il n’y avait donc aucun soucis de le partager, bien au contraire: Il en avait assez pour deux et il solidifierait cette nouvelle amitié. Devant le grand camion de glace, l’enfant des rues leva les yeux, fut émerveillé par la multitude de parfums présent.
“ Euh..” Le choix était dur, le vendeur fut amusé de cette hésitation, rigola à coeur joie. “ Je vais prendre comme d’habitude, chocolat, café”
L’impatience d’Aiko avait frappé, il fut vite lassé de cette petite prise de tête de devoir choisir un parfum. Il y en avait tellement, ils lui faisaient tous envie, de l’oeil, il ne savait plus ou donner de la tête. Il ferma les yeux, prit une grande inspiration et décida de faire au plus court: Il avait pris ses deux parfums préférés: Café et chocolat. AIko se dépêcha de prendre sa commande dans les mains, de payer pour lui et la fille. Un geste de la tête, un petit aurevoir sorti de sa bouche, il s’éloigna du camion, retourna dans le parc avec sa copine. Il alla s’asseoir sur un banc, non loin des balançoires, ouvrit son petit pot de glace.
“ elle est super bonne ! ah euh.. disons que..”
Des petites taches rouges apparues sur ses joues, il était gêné de la question de son interlocutrice, ne voulait lui avouer son méfait. Il resta silencieux, fit mine d’être occupé par sa glace. Ce fut a moitié vrai, it dégusta sa glace, se régala avec. Il mangea comme un glouton, avala de grosse portion et alla tellement vite. Cette vitesse lui valu une petite migraine, c’était pas bon ce froid soudain pour sa petite tete. Le petit AIko lâcha sa petite cuillère dans son pot, se frotta la tête avec une mauvaise grimace sur son visage.
“ ca fait mal” Enfant, il se plaignait souvent, n’aimait pas se faire mal stupidement
‘hé dis, tu veux faire quoi après ?”
Pour une fois, l’enfant des rues laissa le choix à son interlocutrice, elle allait pouvoir en profiter un peu.
Tsuki Ohno
Aide soignante
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Citation : Je n'ai pas encore de citation, c'est triste !
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Re: Jeux d'enfants (Aiko)| Sam 11 Mar - 21:50
Le petit garçon choisit de prendre du chocolat et du café. Du café ?! Elle a déjà gouté dans la tasse de sa grand-mère. Elle a trouvé ça vraiment mauvais. Sur sa langue il y a eu comme un goût très très bizarre qu'elle n'a pas du tout aimé. Elle est étonnée qu'il aime ça. Le chocolat, lui, doit être bon. Si elle avait pu elle aurait voulu gouter tous les parfums. Sauf café bien sûr ! Mais Tsuki se dit que de toute façon il n'y aurait pas eu assez de place dans son ventre.
Le garçon turbulent engloutie sa glace plus rapidement qu'elle alors qu'il avait prit deux parfums. La grimace qu'il fait ensuite la fait rire.
- ça c'est parce que tu manges trop vite !
Ça aussi c'est sa grand-mère qui le lui a apprit. Quand on mange quelque chose de froid trop vite ça donne mal à la tête. Le pauvre en fait visiblement les frais.
La petite demoiselle prend le temps de terminer sa glace tandis qu'il lui demande ce qu'elle a envie de faire maintenant. En regardant les différents jeux du parc, elle voit qu'un autre homme en costume est assis à côté de son père. Il est très grand. Il a l'air sévère et un peu fâché aussi. Enfin, il ne sourit pas. Son père est à côté et parle. Elle voit qu'il tape sur le sol avec son talon.
Bien vite elle détourne les yeux, ne comprenant pas la situation. S'ils discutent c'est qu'ils doivent être amis. Ou collègues peut être.
- Regarde, on peut faire ce jeu là !
Elle montre du doigt un jeu où ils doivent s'asseoir et peuvent faire tourner le jeu. Elle se relève pour qu'ils aillent tous les deux vers le jeu. Tsuki prend rapidement place sur un des siège et conseille au garçon de se mettre à l'opposée d'elle sur le cercle des sièges. Ainsi répartis ça serait plus simple de faire tout tourner.
Ses doigts fins agrippent le cercle métallique au milieu. Ce serait plus simple si Seiji venait les faire tourner. Mais il est visiblement trop occupé. Ce n'est pas grave, ils se débrouillerons seuls. Doucement, mais surement, ils parviennent à faire tourner le jeu. Le vent commence à s'engouffrer dans ses cheveux d'ébènes.
- Plus vite, plus vite !
Si elle avait un peu peur sur la balançoire, elle se sentait beaucoup plus en sécurité sur ce jeu. Alors elle désirait qu'ils aillent le plus vite possible. Elle ne sait pas combien de temps ils ont tournés mais quand ils s'arrêtent, Tsuki se remet un peu trop vite sur ses pieds. Elle titube en se raccrochant au jeu.
- Oh j'ai la tête qui tourne !
Le parc entier fait des loopings sous son nez. Un petit rire s'échappe de ses lèvres. C'est marrant !
Le garçon turbulent engloutie sa glace plus rapidement qu'elle alors qu'il avait prit deux parfums. La grimace qu'il fait ensuite la fait rire.
- ça c'est parce que tu manges trop vite !
Ça aussi c'est sa grand-mère qui le lui a apprit. Quand on mange quelque chose de froid trop vite ça donne mal à la tête. Le pauvre en fait visiblement les frais.
La petite demoiselle prend le temps de terminer sa glace tandis qu'il lui demande ce qu'elle a envie de faire maintenant. En regardant les différents jeux du parc, elle voit qu'un autre homme en costume est assis à côté de son père. Il est très grand. Il a l'air sévère et un peu fâché aussi. Enfin, il ne sourit pas. Son père est à côté et parle. Elle voit qu'il tape sur le sol avec son talon.
Bien vite elle détourne les yeux, ne comprenant pas la situation. S'ils discutent c'est qu'ils doivent être amis. Ou collègues peut être.
- Regarde, on peut faire ce jeu là !
Elle montre du doigt un jeu où ils doivent s'asseoir et peuvent faire tourner le jeu. Elle se relève pour qu'ils aillent tous les deux vers le jeu. Tsuki prend rapidement place sur un des siège et conseille au garçon de se mettre à l'opposée d'elle sur le cercle des sièges. Ainsi répartis ça serait plus simple de faire tout tourner.
Ses doigts fins agrippent le cercle métallique au milieu. Ce serait plus simple si Seiji venait les faire tourner. Mais il est visiblement trop occupé. Ce n'est pas grave, ils se débrouillerons seuls. Doucement, mais surement, ils parviennent à faire tourner le jeu. Le vent commence à s'engouffrer dans ses cheveux d'ébènes.
- Plus vite, plus vite !
Si elle avait un peu peur sur la balançoire, elle se sentait beaucoup plus en sécurité sur ce jeu. Alors elle désirait qu'ils aillent le plus vite possible. Elle ne sait pas combien de temps ils ont tournés mais quand ils s'arrêtent, Tsuki se remet un peu trop vite sur ses pieds. Elle titube en se raccrochant au jeu.
- Oh j'ai la tête qui tourne !
Le parc entier fait des loopings sous son nez. Un petit rire s'échappe de ses lèvres. C'est marrant !
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Re: Jeux d'enfants (Aiko)| Jeu 23 Mar - 13:32
A l"époque, j'avais du mal à gérer mes émotions, je ne savais les contenir. Je les laissais tout le temps s'exprimer et mon visage faisait office de reflet, de miroir . Un vrai caméléon, il n'arrêtait pas de changer de couleur en suivant de mes ressentis . J'étais passé du rose, rouge de gêne au blanc voir bleu causé par le froid de cette glace. Je l'avais mangé trop vite, avalé en deux deux or ce fut une erreur de ma part. C’était un piège, il ne fallait jamais manger les glaces trop vite, elles provoquaient des terribles migraines. J’avais mal à la tête, je me l’étais prise dans ma petite main en espérant apaiser cette douleur. C’était bien fait pour moi, j’aurais du me souvenir des conseils de ma mère. J avais tendance à trop vite les oublier.
J’avais reposé la cuillère dans le petit pot, fait une petite pause. Mes petits yeux se rivèrent sur la petite fille à coté de moi, je lui tira la langue de jalousie. Elle ne s’était pas fait avoir, avait pu finir sa glace bien avant moi. J’avais repris la mienne une fois cette maudite migraine, réussi à la finir en deux deux. J’avais jetté le petit pot en plastique par terre, je m’en foutais de l’environnement, rejoint ma petite copine au nouveau jeu.
“ ah ouais t’y vas fort “
Sorti d’un mal de tête, me voila face à un jeu qui allait sans doute m’en donner un autre, j’avais été un peu stupide d’avoir accepté. Je m’étais installé sur ce tourniquet, avais pris soin de m’y asseoir en mettant mes pieds à l’abri. A l’inverse de la balançoire, je n’étais pas à l aise du tout, j’avais un mauvais pressentiment. J’avais fait l’effort de l’aider à le mettre en marche en sortant l’un de mes pieds, en le posant par terre ou je devais y mettre des coups de pied pour mettre le truc en marche. Une fois fait, je retirais vite mon pied du sol, je le remis a la place initiale avec une goutte de sueur au niveau du front. Je ne le sentais pas et à juste titre; Je ne contrôlais pas vraiment l’engin en question et ça commençait à aller vite, beaucoup trop vite. A mon jeune âge, à cette époque, j avais eut peur de tomber ou de partir dans les airs avec ce manège infernal;
“ aaaaaaaaaah stop “
Ces conneries vont me rendre malade, j’en pouvais plus, j’étais en total PLS. Je m’accrochais désespérément à la rambarde, ne cessais de fermer les yeux. Je priais pour l’arrêt de cette fichue machine, je donnerais tout pour en sortir. Je hurlais, je pleurais, je cherchais en vain une solution dans ma petite tête
“ ne refais plus jamais ça”
Un miracle se fit, je le pris ainsi sur le coup, le manège se stoppa, je pu remettre mes pieds au sol. Il était temps, j’avais vraiment cru y laisser ma peau mais j’étais pas du tout dans mon état normal. J’arrivais à peine à tenir debout et j’avais la tête comme un vieux ballon de ruby.
“ aie aie”
La douleur était si forte pour retenir mes petits cris de douleurs, mes petites larmes de crocodile couler sur mes joues rosées, mes deux mains ouvertes venir se plaquer de chaque coté de ma tête . J’avais besoin de réconfort, d’un bon remède et de ne plus jamais remettre les pieds sur ce maudit manège de toute ma vie..
J’avais reposé la cuillère dans le petit pot, fait une petite pause. Mes petits yeux se rivèrent sur la petite fille à coté de moi, je lui tira la langue de jalousie. Elle ne s’était pas fait avoir, avait pu finir sa glace bien avant moi. J’avais repris la mienne une fois cette maudite migraine, réussi à la finir en deux deux. J’avais jetté le petit pot en plastique par terre, je m’en foutais de l’environnement, rejoint ma petite copine au nouveau jeu.
“ ah ouais t’y vas fort “
Sorti d’un mal de tête, me voila face à un jeu qui allait sans doute m’en donner un autre, j’avais été un peu stupide d’avoir accepté. Je m’étais installé sur ce tourniquet, avais pris soin de m’y asseoir en mettant mes pieds à l’abri. A l’inverse de la balançoire, je n’étais pas à l aise du tout, j’avais un mauvais pressentiment. J’avais fait l’effort de l’aider à le mettre en marche en sortant l’un de mes pieds, en le posant par terre ou je devais y mettre des coups de pied pour mettre le truc en marche. Une fois fait, je retirais vite mon pied du sol, je le remis a la place initiale avec une goutte de sueur au niveau du front. Je ne le sentais pas et à juste titre; Je ne contrôlais pas vraiment l’engin en question et ça commençait à aller vite, beaucoup trop vite. A mon jeune âge, à cette époque, j avais eut peur de tomber ou de partir dans les airs avec ce manège infernal;
“ aaaaaaaaaah stop “
Ces conneries vont me rendre malade, j’en pouvais plus, j’étais en total PLS. Je m’accrochais désespérément à la rambarde, ne cessais de fermer les yeux. Je priais pour l’arrêt de cette fichue machine, je donnerais tout pour en sortir. Je hurlais, je pleurais, je cherchais en vain une solution dans ma petite tête
“ ne refais plus jamais ça”
Un miracle se fit, je le pris ainsi sur le coup, le manège se stoppa, je pu remettre mes pieds au sol. Il était temps, j’avais vraiment cru y laisser ma peau mais j’étais pas du tout dans mon état normal. J’arrivais à peine à tenir debout et j’avais la tête comme un vieux ballon de ruby.
“ aie aie”
La douleur était si forte pour retenir mes petits cris de douleurs, mes petites larmes de crocodile couler sur mes joues rosées, mes deux mains ouvertes venir se plaquer de chaque coté de ma tête . J’avais besoin de réconfort, d’un bon remède et de ne plus jamais remettre les pieds sur ce maudit manège de toute ma vie..