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Hakumei
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Aliyah Fuma
Chanteuse & Styliste & Maman
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[!!! Violent] La célébrité a toujours un prix | Freja & Yasushi Xjnq
Citation : Je peux être qui tu voudras sans jamais être moi-même
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Aliyah Fuma

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La célébrité a toujours un prix
ft Freja et Yasushi

08 Mars 2021

Ce matin-là, je me sens légère, en paix parce que comme toujours, j’ai le droit à un merveilleux petit déjeuner de la part de mon époux. Aujourd’hui, j’ai deux rendez-vous à la boutique dont un avec Freja Kentai, célèbre soliste avec qui je suis devenue amie au fil des croisades lors de soirées mondaines. Enfin amie… Oui sans doute que c’est ce qu’on est, bien que je ne considère pas avoir d’amis. Enfin, si, juste quelques-uns. Enfin bref, on se connait bien depuis quelques années et Freja est venue me trouver, il y a un mois de cela pour que je lui confectionne une robe de soirée. On attaque le second rendez-vous aujourd’hui où elle va l’essayer et je vais effectuer les retouches en direct s’il y a besoin.

« Je te souhaite une bonne journée, chéri. On se rejoint directement au restaurant ? »

« Oui on peut faire comme ça, bonne journée à toi aussi, ma belle. »

Après un baiser langoureux, je pris mes affaires et partis pour rejoindre ma boutique dans le quartier de Koyane. Nous habitons dans le quartier de Fujin, et généralement je me déplace en voiture car comme ça, j’évite d’avoir une horde de paparazzis à mes trousses. Je reste malgré tout connue pour mon parcours musical, et maintenant la boutique commence à être bien connue. J’ai le temps de faire un peu de ménage avant que Freja n’arrive et j’en profite pour briefer avec Erika, mon assistante. Nous sommes trois au total dans la boutique. Erika qui s’occupe du patronage et de la confection en général, Kiyoshi qui est notre vendeur mais sait également coudre et enfin, moi-même, styliste modéliste et quand il y a besoin je couds. Mais je m’occupe principalement des rendez-vous, du dessin puis des retouches avec les clientes.

On devrait bientôt être quatre car la boutique marche vraiment fort et on commence déjà à être débordés de commandes ; en plus d’une collection édition limitée que nous sortons une fois par an. Je fais passer des entretiens aussi en ce moment puisque l’on va prendre une étudiante de la Bunka Fashion Gakuin. Mon objectif est bien d’attiser l’élite dans ma boutique et ainsi nous faire connaitre au monde entier. Enfin, pour l’instant à tous les japonais – ensuite on verra pour l’international.

« On a tout Erika pour Mlle Kentai ? »

« Oui c’est tout bon Aliyah. Ha oui, tu sais ton rendez-vous de l’après-midi ? »

« Oui ? »

« Il a été décalé à ce matin, en fin de matinée, désolée… »

« Ha mais c’est… Oui c’est pour Kana Yumeda. Non mais c’est bon t’en fais pas. Ça devrait se gérer ; je devais voir avec elle pour les retouches effectuées sur sa tenue. »

Que des peoples à recevoir aujourd’hui et heureusement, que des rendez-vous assez simples en soi. Kana du groupe Scandal n’est pas chiante sur les retouches et c’est la deuxième fois qu’elle fait appel à mes services. Si tout le monde a bien géré son travail, ça ne devrait pas poser de problèmes. On met ensuite tout en place pour pouvoir accueillir Freja. La tenue confectionnée sur le mannequin bien en visu ; je suis sûre qu’elle sera magnifique dedans et qu’il n’y aura pas trop de retouches à faire. Ce n’est pas la première fois non plus qu’elle vient me voir. Je n’ai la boutique que depuis une année et demi mais elle a déjà attiré pas mal de personnes de mon entourage qui sont connues. Je reçois ensuite Freja et sans plus tarder, après les deux trois banalités d’usage dont je me contrefous toujours royalement, je passe aux choses sérieuses. Une fois qu’elle a enfilé la robe, j’effectue les quelques repérages pour les retouches aux endroits où elle me le dit.

Ça prend une demi-heure tout au plus et quand j’ai tout ce qu’il me faut, elle peut aller se rhabiller pendant que je vais noter quelques trucs sur mon Ipad à l’intention d’Erika pour qu’elle puisse terminer de s’occuper de ces retouches. Le timing est assez serré en fait, j’ai pas mal de paperasse à faire et dont je viens de me souvenir. La miss finit par me rejoindre et au moment où je lui donne le dernier rendez-vous pour la livraison, des types en cagoules déboulent dans la boutique. Ils sont plutôt nombreux et je commence à froncer les sourcils. Heureusement, je sais me défendre et je commence à en cogner un sauf que leur supériorité numérique ne me permet pas de me défendre comme je le peux car en un clin d’œil… ah merde… je me suis fais attrapée et je… non je ne dois pas… sombrer… Magoichi !...

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Feat Aliyah & Yasushi || À cœur ouvert de Pierrick Liliu


La tenue (si tu veux j'ai la robe de concert aussi):

Un concert se préparait. Effectivement dans un mois et des brouettes nous avions un concert avec Ellen. J'avais donc rendez vous avec Aliyah Fuma, une styliste de talent qui devenait de plus en plus connue. De ce fait grâce au dur labeur qu'elle faisait, malgré quelques autres personnes, trois quatre ? Je ne saurais le dire mais.. Grâce à son talent de plus en plus reconnu elle s'améliorait au fil des commendes qui se suivaient. J'aimais beaucoup aller chez elle et puis en général juste en lui expliquant ce que je voulais elle trouvait souvent et plutôt vite une idée de robe qui m'aiderait et qui, surtout, me plairait. C'est donc avec le sourire au lèvre que je me réveillais, bien plus tôt qu'à l'accoutumée. Je voulais jouer un peu du violon avant l'arrivée d'Ellen qui m'accompagnerait à la boutique de Madame Fuma où m'attendait ma robe. Ellen était tout de même un véritable amour de m'éviter le plus possible de prendre le taxi ! Cela m'embêtait tout de même un peu du fait que j'avais peur de la déranger mais cela faisait tellement longtemps que nous nous connaissions que je savais, au fond, que ça ne la déangeait pas vraiment. Enfin bref, j'ouvrais mes rideaux et le soleil m'éblouit, j'allais donc dans ma dressing et choisis une robe assez simple : noire avec de la dentelle sur le haut de la poitrine et qui finit en ras de cou, ainsi que des collants noirs pour aller avec celle- ci. Je passe par la case douche avant de m'habiller et une fois cela fait j'en ressors et vais mettre de l'eau à chauffer en prenant deux mugs que je posais sur le comptoir. L'un pour Ellen, l'autre pour moi, nous avions largement le temps pour boire une boisson chaude avant de partir pour mon rendez vous. L'eau étant chauffée je touche ma montre. Ma meilleure amie n'arrivera que dans dans vingt minutes j'ai le temps de jouer un peu, je pense même qu'il faudra refaire chauffer l'eau.  Je vais donc chercher mon violon et commence à jouer jusqu'à ce qu'une alarme sonne ou plutôt jusqu'à ce que la sonnette de la porte de ma maison se mette en marche. Ellen bien évidemment.  Je pose donc mon violon sur le tabouret du piano que ma meilleure amie utilise lorsqu'on ne veut pas s'entraîner au conservatoire. Enfin que je vais ouvrir la porte.

«  Coucou ma chérie ! »

– Coucou ma belle.

Je l'invite à entrer et elle me dit d'aller m'asseoir. Je vois sa silhouette aller dans la cuisine ouverte sur le salon.

« J'ai déjà fait chauffer l'eau mais c'était y'a vingt minutes. »

Après quelques minutes j'entends la bouilloire s'éteindre et entends les pas d'Ellen. Voyant son ombre une fois qu'elle est près de moi, en train de servir l'eau et mettant les boules à thé dans les mugs. Nous commençons à papoter un petit instant  tout en buvant puis vint le moment de partir. Dehors et fermant la porte nous allons en direction du petit portillon en fer forgé pour sortir. Aidée de ma canne et du bras d'Ellen qui tient à tout prix à me tenir au cas où je tomberais... Pire qu'une mère poule ! Nous arrivons donc jusqu'à la voiture de ma meilleure et pénétrons à l'intérieur de la cage de fer. Le chemin se passe sans encombre nous fumons une cigarette sur le parking près de la boutique de Madame Fuma. Nous avons un peu d'avance donc autant en profiter de ce petit laps de temps pour me détendre avec ce bâtonnet cancérigène, mon petit pêché mignon malheureusement. Sucette à cancer éteinte et rangée dans un cendrier portable Ellen me laisse aller jusqu'à la boutique  parce qu'elle a un rendez- vous avec quelqu'un . Je hoche la tête et m'aide de ma canne pour aller rejoindre Aliyah, je m'arrête au niveau du feu rouge et une fois celui ci me permettant de passer de l'autre côté je me dépêche. Touchant ma montre en pénétrant dans la boutique je me rends compte que je suis pile à l'heure. Je m'avance un peu pour ne pas rester dans l'entrée et reconnais l'allure de la styliste, je souris et nous nous saluons. Les choses se font assez vite comme d'habitudes. Je regarde la robe sur le mannequin puis elle me la mets et je lui dis où faire des retouches, aujourd'hui c'est au niveau du buste que ça ne va pas. Rien de bien grave quelques centimètres de trop qui font que  la robe est un peu lâche.

«  Désolée j'ai du maigrir un peu... »

Je pouffe doucement de rire pour ne pas qu'elle ait trop de soucis à mettre les repères puis lorsqu'elle a fini je retourne mettre ma robe tranquillement et une fois ressortie j'entends du grabuge plus loin. Cependant cette masse de bruit se trouve.. Dans la boutique ? Sans plus tarder je vois une ombre puis reconnais un homme en cagoule. Ils veulent nous prendre en otage ? Mais ! Je me sens prendre de force pour être jetée dans  ce qui semble être un coffre, un grand coffre. Une camionnette peut être ?  Je hurle à plein poumon. Pourquoi ?



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Aliyah Fuma
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La jeune femme semblait avoir maigri un peu par rapport au patronage de la robe mais ce n’est pas très grave. Je lui souris en mettant des épingles à droite à gauche au niveau du buste pour qu’on puisse ensuite faire les ajustements. Et c’est là que tout a merdé puisque l’on s’est fait kidnappées. Je n’ai pas eu le temps de crier quoique ce soit, ils m’avaient mis un truc sur le nez pour que je le respire et j’ai dû m’endormir. Cette quoi cette merde, sérieux ?! Au fond de moi, bien sûr que je me sens un peu paniquée mais… J’ai aussi appris à garder mon sang froid pour ce genre de situation. Avec Magoichi et mon manager, on a orchestré exprès quelques fois des kidnappings fictifs, juste au cas où cela m’arriverait dans la réalité. Tout ça a pour but de m’endurcir et de vraiment garder mon sang-froid. Seulement, même si j’ai appris tout ça par les entrainements, je ne peux m’empêcher d’avoir un peu peur.

Je ne sais pas trop combien de temps il s’est passé jusqu’à mon réveil. En fait, c’est hyper flou… ça sent bizarre en plus, je ne saurais véritablement qualifier cette odeur. Je suis encore un peu dans le flou alors que j’ouvre les yeux petit à petit. Au départ, tout est déformé mais petit à petit la vue revient normalement. Je me trouve dans une pièce aux couleurs rouge et noir. Je n’ai pas réellement besoin de tourner la tête que je vois des tonnes de photos. Des photos de moi principalement… Et j’ai l’impression qu’il y a du photomontage car jamais de la vie je n’ai pris de photos en nude ! Je fronce les sourcils en essayant de bouger mais je n’y arrive pas. Je comprends en regardant d’un peu plus près mon état que je suis attachée à une chaise, chevilles et poignets… Et j’ai un truc dans la bouche. Je remarque aussi que mon haut est à moitié déchiré et que c’est pareil pour mon bas. Ho purée la rage commence tout de suite à monter là. Tout ceci est entrain de me débecter au plus haut point. C’est mon pire cauchemar ; un fan déséquilibré qui a décidé de me kidnapper pour je ne sais quelle raison exactement.

« Huuuum !! Huuum ! »

Je commence forcément à me débattre car je déteste ça et à l’intérieur je suis entrain de bouillir. Une personne en costard cravate avec une rose dans les mains, finit par venir me faire face et mon regard est plus qu’haineux.

« Mais voyons Aliyah chérie… Pourquoi tu te mets en colère comme ça ? Il ne faut pas. Je ne te veux pas de mal tu sais. »

« Huuuum ! Huuum !!! »

« Haha oui c’est vrai que tu ne peux pas me répondre. Devrais-je te libérer la bouche ? Ha décidément je suis trop sympa. Mais ne hurle pas s’il-te-plait chérie. »

Nan mais sale con tu m’appelles encore une fois comme ça, je te jure que je t’arrache la jugulaire, quitte à finir mes jours en taule. Quand Magoichi se rendra compte de ma disparition, je suis certain qu’il va tout faire pour me retrouver et me ramener. Il finit par m’enlever ce que j’avais dans la bouche et je lui crachais dessus pour montrer mon mécontentement, je me pris une gifle de sa part.

« Connard ! Ose encore une fois me frapper, je vais te tuer sale psychopathe ! »

« Tututut, Aliyah chérie pourquoi parles-tu comme ça voyons. Ce n’est pas très poli. Tu sais je t’aime et je pense que tous les deux on peut s’entendre super bien. D’ailleurs… Cette rose est pour toi. »

« Si tu crois que je vais t’apprécier, tu te fourres bien le doigt là où je pense. »

« Non mais tu sais ma chérie, je suis certain que tu vas m’aimer à force. »

Mais bien sûr ! Si tu crois que je vais t’aimer mon gars, c’est que t’es vraiment atteint. Je montre les dents à grogner alors qu’il me met la rose dans la main droite. La torture simple avec le dégoût aurait pu simplement s’arrêter là mais non. Il s’approcha de moi avec un air de pervers fini puis commença à me caresser la joue et l’affront ultime : il m’embrassa de force.

« NE ME TOUCHE PAS SALE PERVERS !!! »

Je bougeais dans tous les sens, secouant la tête pour ne pas qu’il continue de m’embrasser, je l’ai même mordu à la lèvre pour qu’il se casse de là. Les larmes ont commencé à couler alors qu’il me remit une gifle et un bâillon pour que je me taise. Il a osé… Il a osé ce sale con ! Pardonne-moi mon amour… Pardonne moi Mago’ de ce baiser forcé.

« Je t’avais dit de ne pas hurler Aliyah chérie. Tu aurais dû te laisser faire, je n’aurais pas été obligé de te frapper. Bon, je vais voir comment va ta copine. À plus tard. »

Me laissant ainsi seule avec mes larmes, la souillure de ce baiser qui m’a atteint au plus profond de mon être. Je laisse tomber la rose à terre. Qu’il me laisse ce bâtard ; je vais le buter dès que j’en ai l’occasion. J’espère que Freja va bien… J’essaie à nouveau d’analyser autour de moi pour voir s’il n’y a pas quelque chose de coupant pour pouvoir me libérer, mais… malheureusement rien du tout.

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Feat Aliyah & Yasushi || What's up danger de Blackway & Black Caviar




S'il y avait bien une chose à laquelle je ne m'attendais pas c'était bien me faire kidnapper... Et de plus en pleine journée ! Je savais qu'avec ma renommée cela aurait pu arriver mais je m'étais aussi dit que si ça devait arriver ça serait arrivé avant. Enfin bref, une belle illusion à la con... Me voilà donc dans une camionnette seule... Non ? J'entends que Aliyah est aussi là. C'est vrai qu'elle a plutôt une bonne réputation ! Nous voilà dans de beaux draps... Et cela a le don de me faire paniquer, en même temps c'est un peu normal non ? Se faire kidnapper n'arrive pas à tout le monde et tous les jours non plus. Ma vue me manque terriblement, je ne sais pas ce qu'il se passe et voyant que je bouge trop étant donné que j'essaie de me défendre on finit par me mettre quelque chose qui pu sur le nez et la bouche. J'ai déjà senti ça... Du... Chloroforme ? C'est ça je le sais, on m'avait tout de même déjà fait respirer ça pour que je vois ce que cela faisait sauf que là il y en avait beaucoup plus. Je pouvais sentir le morceau de tissus imbibé. Je luttais mais finis par sombrer.

Lorsque je me réveillais je ne savais pas où j'étais. Il faisait froid, j'étais dans le noir ou du moins, il n'y avait pas de forme de luminosité à un mètre aux alentours et ça me faisait peur. Je reprenais alors conscience de mon corps, j'avais froid parce que j'étais à moitié déshabillée ou plutôt : mes vêtements étaient dans un sale état. Qu'est ce qu'on me voulait au juste ? J'angoissais, mon souffle se faisait court. Cependant j'essayais de me calmer, j'étais seule, ou du moins je ne sentais personne qui soit dans la pièce avec moi. Je n'avais pas une bonne vue, ou plutôt une vue tout simplement comme celle des autres mais cela m'avait au moins permis d'aiguiser mes autres sens. Comme le toucher bien évidemment, après tout c'était aussi pour ça que je jouais si bien du violon. Enfin bref ce n'était pas le moment de penser à ça il fallait que je trouve un moyen de me détacher. Sauf que sans ma vue je ne pouvais pas faire grand chose comme me jeter contre un mur et essayer de casser la chaise... Ah mais ! Pourquoi ne pas tenter ça ? J'avais juste à tâtonner un peu ! Mes chevilles n'étaient pas entravé. Erreur fatale pour eux. Toutefois j'essayais de briser mes liens en bougeant dans tous les sens, en me débattant dans le vide. Au final je sentis mes chaires se déchirer légèrement à cause de la corde qui brûlait la peau de mes poignets aux mouvements répétitifs de lorsque je me débattais. Ayant tentée cela, il ne me restait plus que l'option du mur.  Je risquais d'être assommée selon comment je plaçais ma tête mais je tentais le tout pour le tout. Je marchais donc doucement, ce n'était pas facile avec le dos recourbé  à cause de l'attache à la chaise mais à force de marcher lentement je touchais le mur. ENFIN ! Je prends un peu d'élan et me jette une premier fois contre le mur. La douleur dans mon épaule est vive mais heureusement je n'ai pas perdu l'équilibre. Je peux tenter une seconde fois ma chance. Cette fois je me mets plus en diagonal pour que ce soit plus la chaise qui prenne et non mon épaule. Malheureusement, la chaise est intacte, je suis tombée sur le béton de la salle et me voilà en train de hurler à cause de la douleur.  C'est à ce moment là que j'entends la porte s'ouvrir puis des pas, lourds... Ceux d'un homme sûrement et j'en deviens certaine une fois que la personne commence à parler

— Freja, Freja, Freja... Je me doutais que tu allais faire en sorte de te libérer. À croire que je te connais par cœur à force de t'observer..

Je sens l'homme me redresser et m'embrasser avec fougue, je lui mords la langue presque à sang, il la retire pile avant en grognant.

« Lâche moi pourriture ! Où sommes-nous ! »

— Tatata tu devrais mieux me parler si tu ne veux pas être blessée. Je suis la seule personne à connaître cet endroit avec mes amis. Il y en a d'ailleurs un qui a encore plus envie de te voir. Il est ton plus grand fan tu sais. Il t'a envoyé des lettres, il a même appris le braille pour toi ! Je te laisse en sa compagnie.

J'entends les pas du mec partir mais ils sont immédiatement remplacés par d'autres. Et en pensant à ce que le type avant celui qui arrive m'a dit je me rends compte que, oui, effectivement j'avais un fan un peu trop intrusif. Seulement, je ne pensais vraiment pas qu'il allait aller jusqu'au kidnapping avec ces copains tarés... Une lumière vivre et blanche m'éclaire et je peux voir les chaussures du nouveau type qui me prend le menton pour que je capte son regard.

– Hé bien... Bonjour mon amour !

«  Ta gueule ! »

Je me prends une première gifle et l'homme ouvre de nouveau la bouche.

– Tu devrais être plus gentille avec tes fans tu sais... Je sais que je suis un peu égoïste car je te veux pour moi tout seul mais... Je le mérite !

«  T'es qu'un fou tu mérite rien ! Salaud ! »

Deuxième gifle et cette fois je vois une lueur dans sa main et je commence à avoir encore plus peur, ma voix tremble lorsque je décide de parler.

« Qu.. Qu'est ce que tu veux... ? »

– Je TE veux..

Je me mords la lèvre inférieure alors qu'il passe un couteau lentement sur moi sans pour autant me planter. Des larmes commencent à couler le long de mes joues.

«  Lâche moi... S'il... S'il te plaît... Si tu m'aimes... »

– Non... Tu n'es qu'à moi...

Je le sens passer sa main dans mes cheveux avant qu'il ne m'embrasse sur le front.


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Aliyah Fuma
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La célébrité a toujours un prix
ft Freja et Yasushi

Je ne sais pas comment va Freja alors que moi-même je suis dans une position plus que délicate. Complètement impuissante face à ces pourritures, je ne peux que subir leurs châtiments. Qu’est-ce que je t’ai fait Dieu ? Est-ce parce que je ne suis pas assez gentille, parce que je suis égoïste et un peu égocentrique sur les bords ? Je te demande pardon si ce n’est que ça. Je sais que j’ai un caractère de merde, avec une forte tendance à m’en foutre de tout, ou bien à chercher la merde. Magoichi croit en toi alors moi aussi j’ai envie d’essayer. Mais ne me laisse pas pourrir ici s’il te plait. J’entends cependant des voix qui s’élèvent de la pièce d’à côté. Il semblerait que les murs ne soient pas trop épais puisque je crois reconnaitre la voix de Freja. J’espère qu’ils n’ont va pas la blesser ; je veux bien prendre les coups pour nous deux s’il le faut.

Même si ces photos m’horripilent au plus haut point, je continue d’observer la pièce dans son ensemble en attendant que quelqu’un revienne. Ah je jure que je vais me venger d’une manière ou d’une autre dès que je le pourrais. Je sais que mon époux ne voulait pas m’impliquer dans ses histoires, mais j’avoue que j’aurais bien voulu savoir me servir d’une arme et en avoir une sur moi. Ça peut toujours servir au cas où. J’aurais pu les menacer avant qu’ils ne nous enlèvent. Ah ça m’énerve tellement de ne rien pouvoir faire là ! Ces photos de moi en nude ou avec des sourires, alors que je suis réputée pour ne jamais sourire… me font froid dans le dos, véritablement. C’est par contre un peu trop bien fait ces photomontages ; on dirait du vrai et je vois du travail de pro là. Ça me dégoûte encore plus je dois dire. Je veux bien qu’il y ait des fans qui soient vraiment fans mais à ce point-là. Et puis surtout, oui, d’accord, la boutique commence à super bien marcher.

J’ai déjà un nom connu de par la musique, mais là je commence à me faire un nom alors oui je suis connue d’accord mais quand même. Je ne suis pas non plus hyper connue ! En tout cas, pas à l’heure actuelle. J’espère bien l’être un peu plus par rapport à la boutique, par rapport à mon métier de styliste afin de m’enlever ce masque de chanteuse mais quand même. De là à me kidnapper… Je voudrais bien qu’on me dise que Kana Yumeda a été kidnappée car le groupe Scandal il tourne même à l’international donc okay mais moi… Petite chanteuse à la renommée nationale ? Non, vraiment, je ne comprends pas ces types. Enfin, j’ai envie de dire qu’on ne les refera pas ; ils sont complètement tarés. La porte finit par s’ouvrir sur un autre type ; pas le même que j’ai eu tout à l’heure. Ils sont au moins deux, sans doute sont-ils encore plus. Je n’ai pas eu le temps de les compter quand ils sont venus à la boutique nous kidnapper.

« Bonjour Aliyah chérie, alors comme ça on n’est pas sage ? Tu sais, bizarrement, ça ne me surprend pas. Ce n’est pas comme si tu avais toujours été une fille sage hein. »

Hum ? Cette voix m’est quelque peu familière… Qui peut bien être cet homme ? Il a un masque ce qui fait que je ne vois pas son visage. Et ça m’emmerde plus qu’autre chose. Ce n’est pas Tom, ni Seijuro, ni les musiciens de Spyair… Mais cette voix me dit quelque chose. J’ai déjà dû rencontrer cette personne. Attends ? Je crois avoir vu dans ce dédale de photos, une photo de moi en robe de mariée. Ah gosh ! Mais je crois que c’est le photographe de notre mariage ! Mais… il me semblait pourtant que mon époux n’en avait fait qu’une bouchée quand on a su qu’ils avaient pleins de photos d’enfants chez lui après les menaces que j’ai reçues. Je la fais courte, une enquête a eu lieu sur ce type tout de suite après notre cérémonie de mariage car j’ai reçu des photos avec des messages plus dégoûtants les uns que les autres. Mon très cher mari a pris les choses en main et a enquêté sur ce sale type. Il faut croire qu’il a été trop sympa de simplement lui casser les jambes et un bras… Le voilà devant moi à présent. Le type finit par m’enlever mon bâillon en souriant d’un air fier.

« Je sais que tu te souviens de moi Aliyah chérie. »

« Je croyais que mon époux t’avait suffisamment amoché comme ça… Tu gagnes quoi à me kidnapper ? Il va venir, j’en suis persuadée. »

« Alors ça, je n’y compterais pas trop ma petite. Non seulement, on a embarqué tes employés pour qu’ils ne parlent pas mais j’ai également envoyé un message à ton très cher époux pour lui dire de ta part que tu avais finalement une urgence boulot et que tu rentrerais super tard. »

« Fils de… »

« Chuut, arrête de dire des choses méchantes ma chérie. J’étais jaloux de ce bonheur que tu partageais avec ton époux ce jour-là. Je t’ai toujours aimé tu sais Aliyah. »

« Tu me dégoûtes encore plus. »

« Ne dis pas ça voyons, je sais que tu vas m’aimer. Tu vas tellement m’aimer que tu en oublieras ce moins que rien de Magoichi Fuma. »

« Mais bien sûr. Ne prends pas tes rêves pour des réalités. Je te retrouverais et je te buterais, au moins comme ça tu ne pourrais plus faire de mal à personne ! »

« Que tu es drôle, mais tu as toujours eu un sens de l’humour particulier après tout. Enfin, trêve de plaisanterie. »

Je n’avais pas vu à cause de l’ombre de la pièce ; on dirait une pièce où l’on fait développer des photos. Il y a peu de lumière et c’est assez gênant. Cet homme a l’air dangereux posa une mallette avec différents outils sur ce qui doit servir de bureau. Je fronce les sourcils car je n’aime absolument pas cela. Je ne sais pas ce qu’il va me faire mais je commence très sérieusement à paniquer. Magoichi, ou quelqu’un j’en sais rien mais qu’on nous sorte de là ! Il prit un outil puis s’approcha de moi avec. Une sorte de pince ? Non, je ne sais pas trop ce que c’est exactement. En fait, d’un geste bien mesuré, il m’arracha un cri de douleur en me frappant au niveau du ventre avec. Je ne comprends pas ce qu’il veut, ce qu’il essaie de faire au juste. Je sens juste que ça pique énormément au niveau de mon ventre. Comme si on venait de me tatouer quelque chose. De là, les yeux fermés, la respiration haletante à cause de la douleur, il enleva mes liens pour me pousser assez violemment au sol, me cognant la tête contre le bureau tant la pièce était petite. Il me banda les yeux, me mit de nouveau un bâillon dans la bouche et accrocha mes mains au bureau pour que je ne bouge pas. Je sentis ensuite une odeur de feu et cela ne me plut pas davantage. J’ai hurlé de toutes mes forces à travers le bâillon en sentant du fer brûlant sur la peau de mon dos. Ça avait l’air d’être une croix tracée. Je finis par m’évanouir quelques minutes plus tard.

Des voix semblaient s’élever mais je ne comprenais pas d’où ça venait. J’avais mal, terriblement mal et je me sentais hyper vaseuse en plus de ça. La tête qui tournait, l’esprit complètement embrumé. C’est le parfum si caractéristique qu’utilise Freja qui me permit de comprendre que je devais être avec elle. Mais plus rien ne répondait ; seules les voix déformées, les visages déformaient m’apparaissaient. Ils m’avaient sans doute drogué. Qui sait ce qu’ils ont pu me faire d’autre. Au secours… J’ai l’impression d’être toujours entravée mais mon regard était complètement vide, je ne comprenais plus rien de toute manière.

« Haha non mais regarde moi dans quel état ça l’a mis ! T’as mis combien en dose ? »

« Ho pas grand-chose t’en fais pas, juste assez pour qu’elle ne comprenne plus rien à ce qui se passe. »

« Bon, on en fait quoi maintenant ? Aliyah n’est absolument plus en état de pouvoir faire quoi que ce soit avec le puissant calmant que tu lui as injecté. »

« Arf, ce n’est pas très grave. Il y a toujours sa copine. Il valait mieux neutraliser celle qui a le plus de chance de nous mettre en danger. Ouh ouh Aliyaaaah tu m’entends ? Non, bien sûr que tu ne m’entends pas. Ou du moins, tu ne comprends pas ce qu’il se passe. »

Et ça s’est mit à rigoler à plein poumons sans que je n’arrive à comprendre quoique ce soit.

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La célébrité a toujours un prix
Feat Aliyah & Yasushi || What's up danger de Blackway & Black Caviar




Si je m'attendais réellement à ça de la part d'un fan ? Non. D'un fan hystérique qui me prend pour sa propriété, possible oui, totalement possible même. Seulement voilà.. Je ne m'étais jamais préparée à ce genre de chose, ce genre de situation. Et cela me faisait d'autant plus peur que le fait que je ne pouvais ni voir dans quelle pièce j'étais, ni voir exactement le visage de mon fan hystérique. Je savais juste que j'étais dans une pièce faite de béton avec des lumières éblouissantes même pour une malvoyante comme moi, je n'aurais jamais cru ça possible mais il faut croire que ça pouvait être possible.. En tout cas ça ne me faisait pas du tout du bien. Dû au fait que j'étais malvoyante mes yeux restaient tout de même sensible je suppose...  L'homme se rapprocha de moi une nouvelle fois et je pus voir son visage avec netteté tellement il était près de moi. Il était... Il était hideux à mes yeux avec ce sourire sadique et ses yeux.. Pervers ? Oui c'était sûrement ça, j'avais tout de même du mal à voir totalement. Et alors que j'avais les yeux larmoyants et la voix qui tremblait lorsque je lui demande de me lâcher. À lui hein ?

«  Je ne serai jamais à toi ! Tu m'entends ! Tu pourras faire ce que tu veux je ne plierai pas ! »

Ma voix était un peu plus assurée mais... C’était jusqu'à ce que je sente la froideur de... D'une lame ? Il avait... Il avait un couteau avec lui ? Mes larmes se firent plus présentes encore mais j'essayais de les retenir. Je ne voulais pas qu'il prenne du plaisir en voyant que je pleurais et de peur et de, possiblement, douleur. Non ! Je ne lui laisserai pas ce plaisir. Il m'attrapa les cheveux avec force pour m'embrasser sur le front mais sa poigne dans mes cheveux me faisait extrêmement mal. Il prit la parole après avoir déposé son baiser abjecte sur mon front.

– C'est bien là que tu préfères qu'on t'embrasse... N'est-ce pas ?

J'écarquille les yeux. Comment ce type savait ça au juste ? Je n'avais pas fait l'erreur  de le dire sur un plateau de télé quand même ? Quelle conne si c'est le cas ! Ou sinon... Il m'observe depuis  plus longtemps que je ne le pensais et il avait vu ma meilleure amie m'embrasser sur cette partie du corps pour me calmer.

«  Ta gueule ! »

Dis-je d'un ton sec alors qu'une gifle me donna le goût du sang dans ma bouche en s’abattant sur ma joue avec force. Cette même gifle eu presque la force de me faire m'évanouir mais je n'étais que sonnée. Bonne ou mauvaise chose ?  Non, c'était une bonne chose, il fallait que je reste consciente  pour essayer de me défendre. Comment ? Je n'en savais strictement rien mais... Rester inconsciente avait une chose de bien tentante : le fait de ne plus ressentir la douleur et de ne plus savoir ce que l'on me fait. Car en ce moment j'avais atrocement peur de me faire planter.  Les larmes coulaient toujours le  long de mes joues et le liquide salé venait se mélanger au sang qui coulait à la commissure de mes lèvres. C'était dégoûtant ! Je n'étais pas quelqu'un de maso ni sadique alors cette situation me débectait. L'homme ma joue dans sa paume de main et du pouce il essuya ma lèvre ainsi que mes larmes avant de venir m'embrasser presque tendrement sur la bouche. Ça ne marche pas ! S'il veut jouer au gentil petit fan maintenant... Non ça ne marche pas !

« Arrête de faire l'innocent et lâche moi, moi et Aliyah ! Je ne veut plus que tu m'embrasse sale  détraquer ! »

– Freja... Soit plus reconnaissante envers moi voyons.... Nous aurons fini dans... Je dirai.. Hmmm. Quelques petits jours ?

Mes yeux s'écarquillèrent de peur, de dégoût, et de... Surprise à la fois? Ils ne comptaient pas nous faire du mal à tour de rôle pendant des jours ? C'était.. Pas possible ! Je ne voulais pas c'était atroce ! Je ne savais même pas comment qualifier ce cauchemar éveillé. Et puis, je me posais la question de : que faisait-on avec Madame Fuma. Était-ce aussi violent que moi ? Plus ? Moins ? Non je n'avais pas envie d'y penser, ça me faisait encore plus peur... Et en pensant à ça j'avais décroché. Je ne m'étais même plus rendue compte de où j'étais, qu'est ce que l'on me faisait jusqu'à.. Sentir de nouveau la lame froide sur mon corps, au niveau de la carotide. Cela eut le don de me faire sortir de mes pensées, évidemment... Il appuya légèrement le couteau sur celle-ci jusqu'à me faire avoir une grimace puis retirait la lame. J'aurais voulu que ça s'arrête là... Malheureusement, comme il me l'avait dit cela durerait quelques jours... Bande fou furieux ! Comment des gens comme ça peuvent-ils exister sérieux ! Je sens alors le couteau redescendre le long de mon corps, appuyant de plus en plus sur ma peau fragile. Il passa sur l'un des trous de ma robe et l'a déchira au passage. Cette sensation me donna la chair de poule. Au bout de quelques minutes à s'amuser comme ça mon bourreau avait totalement déchiré le reste de robe qu'il me restait et j'étais donc en sous vêtements devant lui, un frisson me parcourut l'échine avant qu'il ne reprenne son jeu pour m'ouvrir la peau peau à diverses endroits. Au hasard et plus ou moins profondément. Je me retenais tout de même de ne pas pousser de gémissements ni de lui faire entendre des cris de douleurs mais.. C'était tellement dure de sentir mes chairs se déchirer à cause de ce morceau de fer. Ça piquait et je ne savais plus vraiment où j'avais été coupée et où je ne l'avais pas été. Je savais juste que ça faisait un mal de chien.

– Hé bien.. Tu ne dis rien ? Tu as capté que ta rébellion t'enfonce encore un peu plus à chaque fois que tu l'utilises ?

«  S'il te plaît lâche moi... »

Ma voix est étranglée par les larmes, j'ai du mal à respirer et à déglutir, je veux qu'il arrête ! Par pitié !! Je ravale un sanglot alors qu'il me coupe le ventre de part et d'autre, ça fait un mal de chien et je me courbe sans le vouloir, faisant mal aux autres coupures.

– Ne bouge pas trop mon amour tu vas avoir encore plus mal...

Après un bon moment de cauchemar je me sens être détachée de la chaise. J'aurais pu en profiter pour partir, oui... Si on oubliait le fait que j'étais quasiment aveugle mais aussi et, à cet instant présent, le fait que j'étais totalement dans les vapes à cause de tout ce qu'il m'avait fait subir. Je n'en pouvais plus, je voulais que tout s'arrête, je voulait tomber dans les pommes, être inconsciente pour ne plus ressentir la douleur mais malheureusement pour moi je n'arrivais pas à tomber là dedans.  J'avais du mal à tenir debout alors je sentis qu'on souleva mon bras et qu'on le mis au niveau de la nuque de mon bourreau sûrement. Il me tenait avec sa main et avait entouré son autre bras autour de ma taille. J'arrivais donc plus ou moins à marcher. Mes jambes n'arrivait quasiment plus à me porter et il me lançait à terre. Je gémis avec la voix qu'il me restait. Je ne savais pas combien ils étaient, deux minimum, voir trois... Je ne savais pas et malgré tous leur parfum je reconnu celui de Aliyah.  Les entendant parlé j'avais clairement compris qu'ils avaient drogué mon amie.

– Elle est encore plus belle en sous vêtements... Freja tu es magnifique encore plus que lorsque tu es habillée sache le !

— Elle me donne presque envie de...

J'écarquille les yeux. Non ! Non ! NON ! Tout mais pas ça ! Par pitié ! Je bouge dans tous les sens mais à part me faire mal à mes plaies je ne fais rien d'autre à part gémir de douleur.  On me relève soudainement après que j'ai vaguement entendu l'un des types me mettre sur un matelas.  Matelas qui puait et dont les ressorts s'enfonçaient dans mon dos. Je sentis soudain qu'on me bâillonnait.

— C'est pour ne pas que tu cries trop fort. Ça va piquer un peu je pense. Et si tu essaies de faire quelque chose... Hé bien... Tu connais mon ami ?

Dit-il en passant la lame du couteau le long de ma tempe tout en descendant le long de ma joue pour finir  la pointe sur ma clavicule.


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Lundi 8 mars 2021


Ce moment était vraiment… sublime. C’est rare que j’arrive à draguer une personne qui adhère à ce que je recherche, surtout pour une relation d’un soir. Et celui-là m’a semblé particulièrement en manque parce qu’il a dit amen à toutes mes envies, parfois même avant que je ne lui demande. Le seul bémol à tout ça c’est le hurlements de femmes que j’ai entendu. Je me fiche bien de là où nous sommes et de qui m’a satisfait. Mais je n’aime pas ce qui parvenait à mes oreilles tout à l’heure, outre la voix de l’homme qui s’est évertué à s’occuper de moi…

*Enfile son jean gris, son tee-shirt jaune canari avec un dessin noir sur le devant et un gilet en coton mauve sale cachant un peu plus les marques qui constellent son corps, les vieilles comme les plus récentes*

Pff… Je ne sais pas qui m’a filé ces fringues, mais ce n’est pas franchement mon genre. … Bref ! Hein ? Il me dit quoi ? Comment ça il a une suite à la soirée ? Pour moi c’est bon, je suis satisfait. Pas besoin de m’en donner plus.

*Suis son hôte*

J’espère qu’en le suivant je trouverais le chemin vers la sortie et lui poser un lapin. ‘Faut pas abuser, quoi… Tiens ? C’est qui lui ? On était autant ici depuis le départ ? On aurait pu se faire une partie à plusieurs, ça aurait été plus drôle ! Enfin, maintenant c’est bon. J’ai besoin de rentrer et de prendre une bonne…

*Vois une porte qui s’ouvre sur sa gauche, dévoilant deux femmes en piteux état*

… douche...

- Elle me donne presque envie de…

Je suis tombé où, encore ? Mais c’est quoi ce bordel ? Pourquoi ces mecs s’enjaillent à maltraiter des personnes visiblement non consentantes ?! En plus, l'état de la rousse ne me dit rien qui vaille… J’aime me faire malmener, mais pas malmener les autres. Même si, comme l’autre le dit, ce sont des soi-disant célébrités !

*Regarde la scène qui se passe sous ses yeux, et notamment la jeune femme brune se faire plaquer sur un vieux matelas*

- C'est pour ne pas que tu cries trop fort. Ça va piquer un peu je pense. Et si tu essaies de faire quelque chose... Hé bien... Tu connais mon ami ?

Un couteau ? Non mais… Je me suis fourré où là ?! Et ils sont combien ?! Un, deux, trois… au moins quatre, non ? Non ! Attends… Trois ? Je n’arrive plus à compter où quoi ?! J’ai envie de vomir… Pourquoi il fallait que je sois là ? Je ne veux plus être là...


Je suis où ?
Dans un bâtiment.
Avec plusieurs hommes.
… Et deux femmes.
La situation… ?
Non !!

Je m’avance vers le matelas sur lequel se trouvent une fille brune et un mec qui la menace avec un couteau.
Un homme déclare que j’ai envie de m’amuser avec la brunette et qu’il faut me laisser la priorité puisque je suis un “invité”.
Connerie.
Son pote au couteau me regarde et me demande si je peux lui laisser la première place puisqu’il est raide dingue de sa victime.
Ça sert à rien de lui répondre.
Je prends sa main qui tient le couteau.
Son regard exprime de l’incompréhension alors qu’il me demande ce que j’ai.
Aucune résistance n’est présente dans son bras.
J’en profite pour lui prendre son couteau et lui trancher la gorge.
Une pluie rouge m’asperge.
Je m’en fiche pas mal, ce n’est pas comme si c’était la première ou la dernière fois. Des enfoirés comme ça, je les étriperais autant qu’il y en aura sur mon chemin.
Les autres sortent de leur état de choc et tentent de s’en prendre à moi.

Evaluation de la situation…
J’évite un premier coup venant du mec à ma droite alors que les deux autres se gênent mutuellement.
Dans mon mouvement, je plante mon arme dans le ventre de celui qui m’a attaqué.
Les deux autres sont à nouveau sous le choc.
Ben quoi ?
C’est pas eux qui ont commencé avec plus faible qu’eux ?

Je regarde les filles.
La rousse est dans les vappes je crois.
La brune compte de nombreuses coupures.
Les deux ont subi des coups à ce que je peux voir en plus d’être à moitié, voire complètement dénudées.
C’est l’hôpital qui se fout de la charité.
Pas de quartier !

Je me suis pris quelques coups.
… Pas grave.
J’essuis le couteau et le range dans ma poche.
Où est la porte ?
J’avance pour sortir en espérant rentrer chez moi.
Une main sur mon cou…
Merde ! J’ai pas mon bandage, ni d’écharpe.
Je m’arrête et regarde mes victimes.
Non…
Pas lui non plus…
Ah ! Voilà ce qu’il me faut !
Je prends sur celui qui respire encore et semble souffrir en se tenant le ventre.
Un coup de pied le met sur le dos et le sonne.
J’aime pas l’entendre gémir comme une mauviette.
Je prends son cache-nez et le place autour de mon cou.
Il pue !
Cette fois, je m’en vais.
Je me tourne pour sortir.
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La célébrité a toujours un prix
Feat Aliyah & Yasushi || King de Kanaria


Je bouge dans tous les sens pourtant, une fois bâillonnée j'arrête de gigoter comme un ver de terre, voyant  la brillance de la lame du couteau. Plusieurs larmes coulent le long de mes joues. Je pleure toutes les larmes de mon corps! J'ai peur, terriblement peur pour ce qui va suivre. Mais on ne me touche pas pour autant, c'est bizarre, le temps passe pourtant. Que se passe-t-il ? Il y a quelqu'un d'autre qui vient d'arriver dans la pièce, j'entends nos agresseurs parler. L'un d'eux répéter qu'il me veut le premier parce qu'il est raide dingue de moi. Pas de réponse de l'autre personne, si je pouvais je lui aurais craché au visage ! Cependant je sens bien vite un liquide atterrir sur mon corps, mon visage et même mes cheveux. En ayant au coin des lèvres je reconnais  contre mon grès le goût ferreux du... Sang ? Je compris ensuite que s'en était vraiment lorsque j'entendis un son guttural d'une gorge tranchée. Comment je le savais ? Je ne sais pas, j'avais juste déjà entendu ça... Allait-il me tuer ?  Non je n'en avais pas l’impression, à la place j'entendis des coups de pieds ? De poings ? Je ne saurais le dire mais j'entends nos agresseurs gémir il avait dû les neutraliser ! Je soupire de soulagement doucement en enlevant mon bâillon, entendant les pas de l'homme s'éloigner et prends la parole en vitesse.

«  Ne partez pas s'il vous plaît ! Je suis malvoyante et Ali... Mon amie n'est pas en état de faire quoi que ce soit... Pouvez vous au moins appeler la police ? »





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Lundi 8 mars 2021


Rentrer à l’appartement.
La meilleure idée du moment.
Je n’ai pas fait de recherche…
Tant pis !
Besoin de repos.
Et de partir loin.
Pas envie de me faire arrêter par les flics.
Les deux femmes se débrouilleront sans moi.
Cou caché.
Arme lâchée.
Visage essuyé.
Je me casse.

La sortie…
Un cri.
Ou, plus exactement, une série de paroles futiles.
Quelle bonne femme inutiles.
Elle me dérange.
Rien à faire de ses problèmes de malvoyantisme ou je ne sais pas trop quoi.
Elle pourrait crever que j’en aurais rien à foutre !
Pareil pour sa pote.
Le flics ?!
Elles est folle.
Jamais je les appellerais !
Qu’elle aille au diable !

Je fais un pas.
Un téléphone sonne.
Je veux avancer.
Un mauvais pressentiment me tord l’estomac.
Un nouveau pas…
C’est pire !
La sonnerie me prend la tête.
Un regard d’un bout à l’autre de la pièce…
J’avance vers la rousse.
La sonnerie vient de pas là.
Sur la table.
Il vibre et bouge.
Je le prends.
Comment on se sert de cette chose ?
Comment on l’arrête.
J’appuie sur le truc rouge.
Silence.

Je veux poser ce truc…
Encore la sonnerie.
Je rappuie sur le bouton.
Un arrêt.
Et ça recommence.
Ça m'énerve.
Je tente le bouton vert.
Espoirs…
Plus de sonnerie…
Mais une voix.
Une question.

- J’sais pas qui est Ali-machin, mais c’est pas moi.

Le mec est énervé.

- Oh !!! Tu t’calme, OK ?!! Moi j’ai juste trouvé c’truc ! M’accuse pas sans savoir !!

Il se calme, je crois.
Des questions.
Je réponds.
Il n’y a rien à perdre.
Surtout si c’est pour être tranquille.
Le mauvais pressentiment a disparu.
Ali-machin c’est la rousse.
La brunette l’avait appelé comme ça, aussi, je crois.
Je dois la ramener à l’autre mec à un endroit.
La brune, je dois m’en occuper.
Soupir.
Quelle poisse !

Le truc que je tiens fais plus de bruit.
Silence, enfin.
Regard vers la rousse.
Elle bouge pas.
Je m’accroupie face à elle.
Pas de réaction, je crois.
Une claque.
Pas forte mais sèche.
Le but : la réveiller.
Pas lui faire mal.
Deuxième claque.
Comme ça, jusqu’à ce qu’elle se réveille.

- Debout. Quelqu’un veut te voir.

Je la regarde.
Je regarde sa pote.
Mmh…
Des habits…
Sur les mecs.
J’en déshabille deux.
Je jette une paire de vêtements à la brunette.
L’autre paire à la rousse.
J’attends, les bras croisés, en regardant ce qu’elles font.
Dieu que ça pue !
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